En s’inscrivant «dans la continuité catastrophique» de Macron, Barnier «ne pouvait qu’échouer», estime Le Pen

En s’inscrivant «dans la continuité catastrophique» de Macron, Barnier «ne pouvait qu’échouer», estime Le Pen


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TERMINÉ Le 3 décembre 2024 à 23h50 En s’inscrivant «dans la continuité catastrophique» de Macron, Barnier «ne pouvait qu’échouer», estime Le Pen Par Clotilde Jégousse, Amaury


Coutansais-Pervinquière, Elisabeth Pierson, Maxime Dubernet de Boscq et Adrien Bez Le 4 décembre 2024 Suivre Sujets censure Michel Barnier démission Lire dans l’app Copier le lien Lien copié


Mail Facebook X Linkedin Messenger WhatsApp Michel Barnier. Thomas Samson / REUTERS Le chef du gouvernement, visé par des motions de censure de la gauche et du RN, était l’invité des


journaux de TF1 et France 2.


Le direct


Faits Essentiels


mardi 3 décembre 2024 23:14 Michel Barnier tacle la motion de censure de la gauche, et défend le RN 20:24 «Je suis arrivé en sachant que je pouvais partir du jour au lendemain», rappelle


Michel Barnier 20:24 Michel Barnier juge «possible» que la motion de censure échoue 18:53 Emmanuel Macron répète qu’il ne démissionnera pas avant la fin de son mandat 18:49 Emmanuel Macron


dit qu’il ne peut «pas croire au vote de la censure» du gouvernement Barnier 16:13 La censure «rendra tout plus difficile et plus grave», prévient Michel Barnier 11:29 Ces députés de gauche


qui n’ont pas signé la motion de censure du Nouveau Front populaire 10:39 La Bourse de Paris grimpe malgré la crise politique 10:23 Les motions de censure débattues demain à 16h 08:47 Lucie


Castets : «Si une personne est plus adaptée, je n’en ferai pas une question personnelle» 07:20 Michel Barnier, menacé de censure, invité de TF1 et France 2 mardi soir Afficher plus Mardi 3


décembre 2024 23:50 Ce live est terminé !


Merci de nous avoir suivi. A demain pour suivre l’examen de la motion de censure du gouvernement Barnier. A très vite sur lefigaro.fr


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 23:49 «C’est de la mauvaise foi» : Laurent Jacobelli, le porte-parole des députés RN, fustige l’attitude de Michel Barnier


Invité sur France info, Laurent Jacobelli, porte-parole des députés du Rassemblement national, a assuré que son groupe a voulu «éviter la censure», mais face aux choix de Michel Barnier qui


«n’a pas voulu améliorer le budget», le RN «participera à la motion de censure». «C’est de la mauvaise foi de la part du premier ministre qui n’est pas un bon perdant», a-t-il ajouté.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 23:41 Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon seront au 20 heures de TF1 mercredi et jeudi


Après Michel Barnier ce mardi soir, deux autres personnalités politiques seront invitées du 20 heures de TF1. Marine Le Pen, présidente des députés Rassemblement national, se présentera sur


le plateau de la chaîne mercredi soir. Puis, le lendemain, c’est le chef de file de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, qui sera reçu.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 23:14 Michel Barnier tacle la motion de censure de la gauche, et défend le RN


Michel Barnier a taclé sur X, ce mardi soir, la motion de censure déposée par la gauche contre son gouvernement, à la veille de son vote. «Où est le respect envers les 11 millions


d’électeurs du RN dans le texte de cette motion de censure», a-t-il demandé, faisant référence aux propos du NFP contre le Rassemblement national.


Dans sa motion, la gauche assure que Michel Barnier a cédé aux «plus viles obsessions» du RN.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 22:34 Une censure aurait «des conséquences très graves» pour les Outre-mer, selon le ministre François-Noël Buffet


Le ministre des Outre-mer François-Noël Buffet a estimé mardi qu’une censure du gouvernement de Michel Barnier «serait un coup dur» aux «conséquences très graves» pour les territoires


ultramarins.


«Cette censure serait un coup dur pour les Outre-mer, qui voient des financements exceptionnels, des projets de loi et des réformes attendus de longue date suspendus, alors que les défis


économiques et sociaux auxquels nos territoires sont confrontés ne font que croître», a-t-il affirmé dans un communiqué.


Evoquant des «conséquences très graves», le communiqué ajoute que «ne pas avoir de budget, c’est priver la Nouvelle-Calédonie d’aides, c’est priver la Martinique d’un protocole


’’vie-chère’’, c’est priver la Guyane de la rétrocession de foncier (...) C’est concrètement priver trois millions de nos compatriotes d’un budget qui leur est plus que nécessaire». «Nos


territoires ultramarins vont payer le prix fort», poursuit le communiqué.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 21:47 «Oui mais Melenchon» : Sandrine Rousseau moque les opposants du NFP


Dans un tweet court, Sandrine Rousseau tacle sans les nommer les opposants du Nouveau Front populaire. «Oui mais Melenchon», lâche l’élue EELV sur son compte X.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 21:42 «Michel Barnier sera censuré demain», réagit Marine Tondelier


La secrétaire nationale d’EELV Marine Tondelier prédit également que «Michel Barnier sera censuré demain». Elle demande, dans un communiqué publié sur compte X ce mardi soir, au «président


de la République» de «se conformer au résultat des élections législatives qu’il a lui-même convoquées en juillet dernier» et ainsi «se tourner vers les écologistes et la gauche pour


gouverner». Selon elle, Emmanuel Macron est «le premier responsable de la situation de crise politique dans laquelle il a plongé le pays».


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 21:16 «Ce cirque a trop duré : qu’ils s’en aillent tous», lance Clémence Guetté


La vice-présidente Assemblée nationale Clémence Guetté (LFI) qualifie Michel Barnier de «pitoyable». Selon elle, «Barnier (a) suppli(é) Le Pen de sauver son poste, en direct à la


télévision». «Ce cirque a trop duré : qu’ils s’en aillent tous. La macronie en fin de règne se donne en spectacle», poursuit-elle sur X.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 21:13 Michel Barnier «avait le choix, et le devoir, de ne pas mentir», tacle Marine Le Pen


La présidente du groupe Rassemblement national Marine Le Pen, directement nommée à plusieurs reprises par Michel Barnier ce mardi soir, regrette que la décision du premier ministre


«d’inscrire son budget dans la continuité catastrophique d’Emmanuel Macron». «Le premier ministre ne pouvait qu’échouer, écrit-elle sur son compte X. Il avait en revanche le choix, et le


devoir, de ne pas mentir.»


À lire aussi Pour Marine Le Pen, le vertige de la censure


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 21:05 Gérard Larcher : «Et si nous faisions enfin preuve d’un vrai sens républicain ?»


FIGAROVOX/TRIBUNE - Une censure du gouvernement aurait de très lourdes conséquences sur la vie quotidienne des Français, sur notre souveraineté et sur notre économie, alerte le président du


Sénat. Il appelle les députés à un «sursaut».


À lire aussi Gérard Larcher : «Et si nous faisions enfin preuve d’un vrai sens républicain ?»


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 21:03 Michel Barnier «se débat comme un poisson sorti de l’eau», pour Mathilde Panot


La présidente du groupe LFI à l’Assemblée Mathilde Panot juge sur X que «Michel Barnier fait beaucoup de peine à voir». «Il se débat. Comme un poisson sorti de l’eau. Quitte à s’enfoncer


dans la médiocrité et les contre-vérités», poursuit-elle. La députée, qui a déposé la motion de censure du NFP, est affirmative : «Demain, (Michel Barnier) sera censuré.»


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:50 Fin de l’interview de Michel Barnier


Le premier ministre vient de conclure son interview télévisée.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:49 «J’ai peut-être commis des erreurs» : Michel Barnier reconnaît que le «budget n’était pas parfait»


Michel Barnier a reconnu «ne pas avoir tout bien fait» au cours de son passage à Matignon, et que sa proposition de loi de budget «n’est pas parfaite», mais juge «avoir fait de (s)on mieux».


«C’était une mission difficile, j’ai peut-être commis des erreurs et je ne suis pas parfait», a-t-il insisté. Il a toutefois tenu à remercier les ministres de son gouvernement, qui ne «font


pas d’esbroufe et qui ne parlent pas derrière les caméras».


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:43 Michel Barnier écarte la possibilité d’un nouveau passage à Matignon


Interrogé sur un éventuel nouveau passage à Matignon, le premier ministre a rappelé qu’il avait «envie de servir», mais qu’une nouvelle nomination n’avait «aucun sens». «Quel sens (de me


renommer) si je tombe là et que retombe encore ?», demande Michel Barnier. Pour ce dernier, la stabilité de la France pourrait «peut-être» passer par la poursuite de sa mission en tant que


premier ministre.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:41 Pour Michel Barnier, la hausse d’impôt sur le revenu en cas de motion de censure est «inéluctable»


Le scénario d’une censure nécessiterait la mise en œuvre de solutions d’urgence, dont la reconduction pour 2025 du barème d’imposition en vigueur en 2024. Ce qui reviendrait à écarter la


révision prévue dans le projet de budget 2025 du barème de l’impôt sur le revenu, qui devait être indexé sur une inflation à 2%. Une mauvaise nouvelle fiscale pour les contribuables.


«Près de 18 millions de Français verront leur impôt sur le revenu augmenter parce qu’on n’aura pas pu inscrire dans la loi finances l’indexation sur l’inflation des tranches de l’impôt,


insiste Michel Barnier. C’est inéluctable. Il faudra que chaque député qui va voter la censure aille s’expliquer auprès de ses électeurs.»


À lire aussi Pourquoi les impôts de «18 millions» de Français risquent d’augmenter en cas de censure du gouvernement


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:38 «Emmanuel Macron a raison de dire qu’il ne faut pas faire de catastrophisme», souligne Michel Barnier


Quelques heures après les déclarations d’Emmanuel Macron, Michel Barnier est allé dans le sens du chef de l’État en estimant qu’il «ne fallait pas faire de catastrophisme». Le premier


ministre veut faire attention «à la réaction des marchés» et prédit que «le poids de cette instabilité politique se verra rapidement dans les taux d’intérêt».


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:34 «Madame Le Pen a essayé de rentrer dans une forme de surenchère», avance Michel Barnier


Relancé sur les négociations avec Marine Le Pen, avant l’utilisation de l’article 49.3 de la Constitution, Michel Barnier estime que Marine Le Pen a tenté de rentrer dans une «forme de


surenchère». «Je ne veux pas renter dans une forme de chantage, a-t-il également lancé. J’essaye d’être sérieux. Ce n’est pas pour faire plaisir que je présente un budget aussi difficile.»


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:33 Michel Barnier refuse l’idée d’un «marchandage» avec le RN


Michel Barnier affirme qu’il n’y a pas eu de «marchandage» entre le gouvernement et le Rassemblement national à propos du projet de budget 2025. «Il n’y a pas de marchandage. Il y a eu une


écoute, du respect. On a écouté tout le monde», explique le premier ministre.


Le locataire de Matignon a par ailleurs assuré qu’il serait «à l’écoute» dans le cas où il resterait premier ministre : «Ma porte sera ouverte, je suis prêt à discuter avec tous les groupes


politiques. Le budget n’est pas parfait.»


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:30 «Il faut savoir qui va être avec qui», dénonce Michel Barnier


Michel Barnier a dénoncé la volonté du Rassemblement national de voter la motion de censure du Nouveau Front populaire. «Il faut savoir qui va être avec qui, a-t-il dénoncé. Ce texte rédigé


par des députés d’extrême-gauche va devoir être voté par les autres groupes.»


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:27 «Je respecte tout le monde», affirme Michel Barnier


Accusé par le Rassemblement national d’avoir méprisé Marine Le Pen et ses électeurs, Michel Barnier assure qu’il «respecte tout le monde» : «Madame Le Pen dit qu’il faut la respecter. Moi,


je respecte tout le monde», explique-t-il.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:24 «Je suis arrivé en sachant que je pouvais partir du jour au lendemain», rappelle Michel Barnier


Le premier ministre a avancé qu’il était arrivé «en sachant que je pouvais partir du jour au lendemain.» «C’est une situation fragile et éphémère. Je suis très honoré d’être premier


ministre. Ce qui se passe dépasse largement ma condition», a également estimé Michel Barnier. «Ce n’est pas qu’une question de survie politique», a-t-il appuyé.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:24 Michel Barnier juge «possible» que la motion de censure échoue


«Ça dépend des députés. Chacun a une part de responsabilité devant les Français, les électeurs de la circonscription et la France. C’est possible qu’il y ait ce réflexe de responsabilité


au-delà des divergences, au nom d’un intérêt supérieur», affirme Michel Barnier à propos de la motion de censure à laquelle son gouvernement est exposé.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 20:04 Michel Barnier va s’exprimer dans quelques instants


Comme prévu, le premier ministre va répondre aux questions d’Anne-Sophie Lapix et de Gilles Bouleau en direct des 20 heures de TF1 et France 2.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 19:36 Une censure risque de «ralentir le réarmement» de la France, prévient Sébastien Lecornu


Le Premier ministre Georges Pompidou intervient à la tribune de l’Assemblée nationale le 22 mai 1968 au cours du débat sur la motion de censure déposée par l’opposition, qui n’a finalement


pas abouti. - / AFP À lire aussi Le gouvernement de Michel Barnier vacille face à la censure


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 07:18 Deux motions de censure déposées par la gauche et le RN


La gauche et le RN, dominants à l’Assemblée, ont chacun déposé une motion de censure, après le recours du premier ministre au 49.3 pour faire adopter le budget de la «Sécu».


La présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen, a d’ores et déjà indiqué qu’elle voterait aussi celle déposée par les quatre présidents de groupes qui composent le Nouveau Front


Populaire (NFP).


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger 07:15 Bienvenue dans ce direct


Bonjour à tous, et bienvenue dans ce direct consacré, ce mardi 3 décembre, à une seconde journée politique décisive, au lendemain de l’utilisation par le premier ministre du 49.3 sur le 


budget de la sécurité sociale.


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Copier le lien Lien copié Mail Facebook X WhatsApp Messenger Les publications apparaîtront ici Fermer À retenir


- Lundi, le premier ministre a engagé sans surprise la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), assurant avoir été «au bout du


dialogue» avec les groupes politiques, y compris le Rassemblement national.- Les gestes annoncés par Michel Barnier pour répondre aux exigences du parti à la flamme - notamment sur le 


remboursement des médicaments - n’auront toutefois pas suffi: «Nous voterons la censure», a affirmé lundi Marine Le Pen, pour qui M. Barnier n’a «pas souhaité répondre à la demande des 11


millions d’électeurs» de sa formation.- Pour faire chuter le gouvernement, 288 députés devront voter la censure, soit un nombre très largement à la portée d’une alliance de circonstances


entre la gauche et le RN.- Si l’exécutif tombait, la France s’enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin,


avec en outre le risque d’une crise financière liée à la capacité des pouvoirs publics à emprunter sur les marchés à de faibles taux. Passer la publicité Publicité