Comment christine bravo a échappé à une tentative de viol à tf1

Comment christine bravo a échappé à une tentative de viol à tf1


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Christine Bravo a révélé avoir échappé à trois tentatives de viol, dont une à TF1, il y a 25 ans. Son témoignage est bouleversant. C'est un témoignage glaçant que livre Christine Bravo


à nos confrères de _Télé Loisirs_ . L'animatrice a expliqué avoir été victime de trois tentatives de viol, dont une à TF1, il y a 25 ans. "_Un homme, dont je ne donnerai jamais le


nom,_ _M’A ENFERMÉE DANS SON BUREAU ET ARRACHÉ MON SOUTIEN-GORGE . J’ai hurlé, ça m’a sauvée. Mais les gens avaient la tête baissée quand j’ai pu sortir. Il n’y avait aucune solidarité


envers les femmes à l’époque. Ce genre d’incident était monnaie courante"_, s'est lamentée la présentatrice de _Frou-Frou_ sur France 2 au début des années 1990. "Balance ton


porc", très peu pour elle. Christine Bravo n'a en effet aucune intention de divulguer le nom de son agresseur. "_Pourquoi je ne dénonce pas cette personne aujourd’hui ?


Difficile. Si le harceleur est décédé, ses enfants n’ont pas à le savoir. S’il est toujours vivant, il y a prescription et, en plus, on risque de se faire attaquer en diffamation. Alors,


j’estime que_ _LE COUP DE GENOU QUE JE LUI AI ASSÉNÉ CE JOUR-LÀ DANS LES PARTIES GÉNITALES M’A REMBOURSÉE ._ _Je n'ai pas été une vraie victime"_, s'est consolée


l'animatrice. Les temps changent, les mœurs évoluent. Christine Bravo a ainsi encouragé les victimes à "_parler, d’abord à la police plutôt que sur Internet. Et avant la


prescription"._ Flavie Flament a également eu le courage de mettre les mots sur son agression. L'animatrice de 43 ans a révélé avoir été violée lorsqu'elle avait 13 ans par le


photographe David Hamil­ton. "_Ça m'a mis un temps fou de pouvoir un jour dési­gner publique­ment mon violeur et puis de pouvoir ne serait-ce que pronon­cer ces mots :_


_'J'AI ÉTÉ VIOLÉE LORSQUE J'AVAIS 13 ANS PAR DAVID HAMIL­TON'. Cette phrase-là je n'aurais jamais imaginé la pronon­cer",_ a-t-elle déclaré ce 31 janvier devant


la délé­ga­tion aux droits des femmes de l'Assem­blée natio­nale.