
Vous faites partie des premiers levés dans l’avion? Attention, cela pourrait vous valoir une amende
- Select a language for the TTS:
- French Female
- French Male
- French Canadian Female
- French Canadian Male
- Language selected: (auto detect) - FR
Play all audios:

VOUS FAITES PARTIE DES PREMIERS LEVÉS DANS L’AVION ? ATTENTION, CELA POURRAIT VOUS VALOIR UNE AMENDE Face à la recrudescence des comportements dangereux, ce pays a décidé de renforcer les
règles à bord. Publicité Vous rêvez de sortir de l’avion rapidement ? Pas si vite… Mieux vaut y réfléchir à deux fois, car la patience est plus qu’une simple politesse à bord. À chaque
atterrissage, certains passagers attendent calmement le fameux «ding» pour détacher leur ceinture, tandis que d’autres bondissent avant même que l’avion ait fini de rouler. Mais dans ce
pays, mieux vaut ne pas brûler les étapes, car se lever trop tôt, c’est désormais risquer une amende salée. MAINTENIR L’ORDRE DANS LES CABINES En Turquie, la Direction générale de l’aviation
civile a publié, le 2 mai, une circulaire visant à encadrer le comportement des passagers entre l’atterrissage et le débarquement. Cette mesure impose de rester assis, sans ouvrir les
compartiments à bagages tant que le voyant lumineux «ceinture attachée» est allumé. Ils doivent également patienter et respecter leur tour pour se lever et quitter l’appareil, conformément
aux procédures de sécurité en vigueur. Turkish Airlines est la première compagnie à mettre en place les nouvelles consignes dans ses communications aux passagers. Si ces règles existaient
déjà, la nouveauté réside dans la sanction. Les compagnies aériennes sont désormais encouragées à signaler les passagers ne respectant pas ces consignes, lesquels s’exposent à une amende de
2 603 livres turques, soit environ 58 euros selon la chaîne de télévision Halk TV. Avec cette mesure, les autorités turques entendent mettre un terme à un comportement jugé dangereux et
irrespectueux, tant pour la sécurité des voyageurs que pour le bon déroulement des opérations à bord. Reste à savoir si cette sanction financière suffira à dissuader les plus impatients.