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Publié le 24/11/2024 08:14 Mis à jour le 24/11/2024 08:16 Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min 2min Après onze semaines d’audience, le procès des viols de Mazan touche à sa fin. Alors que

les réquisitions seront connues lundi 25 novembre, franceinfo revient sur les faits marquants du procès. Son procès, elle le voulait comme une leçon pour la société. Mercredi, les avocats de

Gisèle Pellicot ont plaidé pour une prise de conscience générale. La veille, Gisèle Pelicot a pu échanger une dernière fois avec son mari, se demandant encore pourquoi il lui avait fait

cela. Selon les mots de son ex-mari, il s’agissait d’un “f_antasme égoïste._” La colère de Gisèle Pelicot se dirige alors vers les 50 accusés à qui son mari l’a livrée. La victime a même

qualifié ce procès de “_procès de la lâcheté_” pour ceux qui ne veulent pas reconnaître le viol. Lundi, ce sont les enfants du couple qui ont pris la parole. David Pelicot, l’aîné de la

fratrie, désigne désormais son père par “cet homme”. Il raconte à la barre ce jour de novembre 2020 où un tsunami emporta sa famille. Sa mère lui apprend l’impensable : "_J’ai perdu mon

père. Toute mon enfance a disparu. Elle a été comme effacée,_" déclare le fils de la victime. Alors que le père demandait pardon à ses enfants, l’un des fils s’est écrié "_Jamais

! _" lors de l'audience. Après la prise de parole de la défense, le verdict est attendu à la fin du mois de décembre. REGARDEZ L'INTÉGRALITÉ DU REPORTAGE DANS LA VIDÉO

CI-DESSUS_._ Partager : l’article sur les réseaux sociaux * Partagez sur twitter (nouvel onglet) (Nouvelle fenêtre) * Partagez sur whatsApp (nouvel onglet) (Nouvelle fenêtre) * Partagez sur

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