Psg-inter milan : «peut-être qu’on serait encore plus fort avec mbappé», glisse dembélé

Psg-inter milan : «peut-être qu’on serait encore plus fort avec mbappé», glisse dembélé


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PSG-INTER MILAN : «PEUT-ÊTRE QU’ON SERAIT ENCORE PLUS FORT AVEC MBAPPÉ», GLISSE DEMBÉLÉ Avant la finale de Ligue des champions face à l’Inter Milan, samedi, l’attaquant parisien évoque la


façon dont le PSG s’est accommodé du départ de Kylian Mbappé l’été dernier. Publicité Un seul être vous manque… et tout n’est pas si dépeuplé que cela. Après le départ de Kylian Mbappé, et


surtout son non-remplacement par un nouveau buteur à l’intersaison, beaucoup s’inquiétaient pour le Paris-SG à court terme. Il s’avère finalement que le club de la capitale s’est très bien


accommodé à la vie sans Mbappé. Rappelons que ce dernier a inscrit 44 buts toutes compétitions confondues lors de la saison écoulée. Le meilleur buteur de l’histoire du PSG, c’est lui (256


buts). Et pourtant, Paris est plus fort que jamais au moment d’affronter l’Inter Milan, samedi (21h), à Munich, en finale de Ligue des champions. Notamment sur le plan offensif, mais aussi


l’équilibre. «_Peut-être qu’on serait encore plus fort avec Kylian Mbappé_, a corrigé Ousmane Dembélé, en conférence de presse, lui qu’on sait évidemment très proche du Madrilène. Et


d’ajouter : «_Il avait un rêve, jouer au Real. Le PSG a continué son chemin, il y a un avant et un après. On lui souhaite bonne chance, on s’est concentré sur nous_.» Ironie de l’histoire,


c’est peut-être l’année du départ de Kylian Mbappé que le Paris-SG soulèvera la Coupe aux grandes oreilles que l’intéressé a tant désirée sur les bords de la Seine. D’ailleurs, «KM» rêvait


aussi de Ballon d’or. Devinez quoi ? Son pote Dembélé fait partie des principaux prétendants à cette distinction. «_Le plus important, c’est gagner, surtout cette Ligue des champions. Je


suis concentré sur l’équipe et pas les trophées individuels. Ça travaille un peu l’esprit, c’est vrai, mais je pense surtout au collectif_», martèle-t-il, lui qui va vivre sa première finale


de C1 après plusieurs finales mondiales en sélection. _«Beaucoup de fierté d’être en finale, on a beaucoup travaillé, ça n’a pas été facile mais on a su changer la dynamique_», note-t-il,


avouant avoir vécu «_une période compliquée_» au moment de sa mise à l’écart contre Arsenal et de son expulsion à Munich. Du passé. «_Il fallait changer la dynamique, j’ai élevé mon niveau


et l’équipe aussi. Je suis content de ce qu’on a fait depuis janvier surtout, on a changé cette mentalité, il faut continuer et aller jusqu’à la victoire_», affirme-t-il, estimant en outre


qu’il conviendra, pour lui et ses coéquipiers, de «_contrôler les émotions, l’excitation. On se l’est répété cette semaine, il faut jouer avec le sérieux, le sourire, contrôler les émotions,


ce sera une clé du match. Et jouer notre jeu_». Un jeu dans lequel «Dembouz» a un rôle bien à lui, le faux 9 : «_Je connais cette position depuis mes débuts en pro, je m’y adapte très bien.


Le coach me donne beaucoup de liberté, j’aime beaucoup cela, j’essaie de créer du déséquilibre et d’être malin, de rendre un peu fou les défenseurs_». Ceux de l’Inter aussi ?