
"il y a de plus en plus d'argent pour des projets ambitieux dans l'économie sociale"
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"Il y a de plus en plus d'argent pour des projets ambitieux dans l'économie sociale" Diplômé de grandes écoles de commerce (ESCP, HEC), Matthieu Dardaillon, 24 ans, le
fondateur de Ticket for Change, a choisi délibérément de sortir des sentiers battus de l'économie capitaliste pour aller faire la promotion de l'économie sociale et solidaire. Son
idée est de permettre à une nouvelle génération d'entrepreneurs de naître, mais dans l'univers de l'entrepreneuriat social. Sur 400 candidats, 50 ont été sélectionnés pour
cette première promotion, dont les projets seront incubés pendant dix mois par les partenaires de Ticket for Change. Ils seront également mis en contact avec des financeurs, et bonne
nouvelle selon Matthieu ... Vous voulez lire la suite ? Abonnez-vous à Marsactu Dis moi jeune homme, apres les études on peut comprendre que tu ai envie de de décompresser. Mais bon il
serait temps de descendre du train et de bosser un peu… Il va être payé par son asso,il va être financé par les fonds sociétaux des gros industriels et banquiers qui se dédouanent et s
embellissent ,ils répondrons ainsi aux critères de notations. Lui Il finira au PS ,comme tout ces types de rêveurs ,comme donneur de leçons. Il nous culpabilisera,on baisera les yeux de
honte et on payera solidairement. Crée ,entreprend et ………embauche en cdi ces pauvres gens,çà c est fiable,durable et la meilleure solution. Une bonne nouvelle qui témoigne d’une évolution –
trop lente – vers des pratiques économiques et sociales qui nous permettraient de relever les défis sociaux, économiques et écologiques pour sortir de cette économie destructrice dont les
règles sont encore les plus enseignées et de loin, tout comme les économistes suivent encore les vieilles règles d’un capitalisme dépassé qui nous a conduit là où nous sommes. Cette
initiative est donc la bienvenue par les temps qui courent, marqués par le renoncement de la gauche qui se couche devant le capitalisme. Le discours de Valls est sur ce point édifiant :
http://www.politis.fr/Devant-le-Medef-Manuel-Valls-a,28024.html Marco serait-ce que nous habitons pas le même pays? Qui c’est qui prélève l’impôt? les entreprises privées, les capitalistes?
Tu n’as pas entendu parler de l’Etat,de Bercy, du code des impôts, des millions de fonctionnaires d’Etat, des millions de fonctionnaires territoriaux, des assimilés, CAF, sécurité sociale,
Urssaf, j’en passe et des regimes particuliers…! Qu’est ce que tu entends par emplois durables, et non délocalisable, les jeunes qui vont pleurer à leur élus du coin un emploi à la mairie
pour ramasser les feuilles,pour ouvrir les vannes des robinets pour faire couler l’eau pendant 4 heures dans la rigole. Tu vois pas que le prix du travail est tellement devenu cher dans ce
pays pour faire vivre tout un tas de gens, que l’on ne peux plus rien produire. Tu as pas entendu parler de la dette de la France 2200 milliards d’euros, ça c’est pour la France. La dette
des collectivités locales presque du même montant…! et toi qu’est ce que tu proposes? Dire que la hausse des impôts cela sert à alléger les cotisations,montre 2 choses:1 Marco n’a jamais eu
d’entreprise. 2 Marco ne paie pas d’impôt. Objectif lucratif limité, finalité sociale, ancrage territorial et gouvernance démocratique : le projet des entreprises de l’économie sociale est
un beau projet, qui nous change des excès du capitalisme dérégulé où l’intérêt de l’homme est largement passé au second plan. Quand on y regarde de près, cette forme d’entreprises est loin
d’être un truc de baba-cool vivant aux crochets de la société : un certain nombre de “poids lourds” de l’économie française (par exemple le groupe coopératif Chèque Déjeuner) et
d’entreprises innovantes font partie de ce secteur, dont les statistiques montrent qu’il crée de l’emploi. Il est significatif que des fonds d’investissement commencent à s’intéresser à ces
entreprises. Et entre-temps, nos voisins developpent des veritables entreprises qui commercialisent des services et de produits dont les marges, imposabales, developpent leurs
infrastructures physiques, intellectuelles et materielles. Impressionant le delire en France …